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L'Europe avant la Seconde Guerre Mondiale

Carte de l'Europe avant la Seconde Guerre Mondiale

Avant la Seconde Guerre mondiale, le monde était marqué par des tensions politiques, économiques et sociales croissantes. Après la Première Guerre mondiale, l'Europe était en proie à des crises économiques et à des changements territoriaux importants, avec des pays comme l'Allemagne souffrant de lourdes réparations de guerre imposées par le traité de Versailles. Cela a créé un terreau fertile pour la montée des régimes totalitaires, notamment en Allemagne, où Adolf Hitler et le parti nazi prenaient de l'ampleur en promettant un retour à la grandeur nationale. D'autre part, le Japon, en quête d'expansion impérialiste, avait déjà commencé à envahir la Mandchourie en 1931, affirmant son influence en Asie. En Italie, Benito Mussolini cherchait à restaurer l'Empire romain en envahissant l'Éthiopie en 1935. Les tensions internationales se sont intensifiées avec la formation de blocs militaires, notamment l'Axe (Allemagne, Italie et Japon) et les Alliés, qui comprenaient la France, le Royaume-Uni et, plus tard, les États-Unis et l'Union soviétique. Les accords d'apaisement, comme ceux de Munich en 1938, n'ont fait qu'encourager les ambitions expansionnistes des puissances de l'Axe, menant inexorablement vers le déclenchement de la guerre en 1939.

La Seconde Guerre Mondiale, une victoire de l'Axe[]

La guerre décrite[]

Adolf Hitler

Adolf Hitler, chancelier de l'Allemagne nazie

En 1939, la guerre éclate en Europe lorsque l'Allemagne nazie envahit la Pologne. Le monde entier est plongé dans le chaos alors que les puissances de l'Axe, comprenant l'Allemagne, l'Italie et le Japon, unissent leurs forces contre les Alliés, la France et le Royaume-Uni. L'URSS, au départ neutre, observe la situation avec attention et méfiance alors que les forces de l'Axe étendent rapidement leur emprise sur le continent européen. La Blitzkrieg, stratégie militaire fulgurante, permet aux troupes allemandes de conquérir la France en quelques semaines, tandis que les forces britanniques sont repoussées vers Dunkerque, où elles parviennent à évacuer la majorité de leurs troupes dans un effort désespéré pour se regrouper.

Avec la France sous contrôle, Hitler se tourne vers l'Est et lance l'opération Barbarossa en 1941, visant à conquérir l'Union soviétique. Les premiers mois de la campagne sont marqués par des victoires écrasantes des forces allemandes. En 1942, la situation atteint un point critique lorsque les forces allemandes, avançant à grande vitesse, réussissent à capturer Moscou, un coup dévastateur pour le moral soviétique. Bien que la résistance soviétique commence à s'organiser, la perte de la capitale inflige un coup dur au pays. Staline, réalisant l'ampleur de la menace, mobilise la nation entière, mais la rapidité de l'avancée allemande laisse peu de temps pour réagir efficacement.

Alors que Moscou tombe, le soutien limité des Alliés ne suffit pas à inverser le cours de la guerre. Les conditions hivernales extrêmes bloquent l'avancée allemande, mais les Soviétiques, sous pression, subissent de lourdes pertes. La bataille de Stalingrad, bien que marquée par des pertes tragiques, devient un symbole de l'effondrement soviétique à long terme.

En 1942, la guerre s'intensifie dans le Pacifique, le Japon continue son expansion territoriale, capturant les Philippines et menaçant la position des États-Unis. Après l'attaque de Pearl Harbor, ces derniers entrent officiellement en guerre. Les batailles navales, comme celle de Midway, marquent des tournants, mais la supériorité navale du Japon reste redoutable. En Europe, les forces de l'Axe unissent leurs efforts pour maintenir le contrôle des territoires conquis. L'Italie, sous Mussolini, renforce ses opérations en Afrique du Nord, mettant la pression sur les Britanniques.

En 1943, les Alliés tentent de reprendre l'initiative avec des campagnes en Afrique, mais les forces de l'Axe continuent de dominer. Les purges staliniennes laissent des marques durables et, bien que la résistance soviétique se renforce, les guerres de partisans peinent à influer sur le cours des événements. À ce stade, les Alliés commencent à comprendre que leur échec à unir leurs forces pourrait leur coûter la guerre. Des sommets sont organisés, mais les divisions internes persistent, conduisant à une stratégie disparate. La bataille de Stalingrad, avec sa perte tragique, devient un symbole de l'effondrement soviétique.

En 1944, l'année commence avec une série de victoires pour l'Axe. Les forces allemandes repoussent une tentative de débarquement des Alliés en Normandie, tandis que les Japonais consolident leur emprise sur le Pacifique. Les batailles de Guadalcanal et des Salomon deviennent emblématiques de la résistance japonaise. Les campagnes de propagande de l'Axe galvanisent les populations, et les Alliés commencent à ressentir le poids de l'épuisement alors que les ressources commencent à manquer et que les pertes humaines s'accumulent.

En 1945, l'Axe lance une offensive audacieuse contre la Grande-Bretagne. Profitant de la faiblesse des forces alliées, les Allemands, avec le soutien des forces fascistes françaises, mènent une attaque coordonnée sur Londres. Les bombardements aériens intensifs, combinés à une invasion terrestre, plongent la ville dans le chaos. Les forces britanniques, épuisées et mal équipées, subissent une défaite humiliante lorsque Londres tombe aux mains des forces de l'Axe, un coup dévastateur pour le moral des Alliés et un tournant dans la guerre en Europe.

En 1946, les Alliés subissent des revers supplémentaires. La guerre des colonies éclate en Afrique, alors que la République française, qui conserve l'Afrique Équatoriale Française, lutte contre les forces italiennes, les Français fascistes qui contrôlent l'Afrique de l'Ouest, et les Allemands qui cherchent à étendre leur influence sur le continent. Des batailles sanglantes se déroulent à travers le continent, les nationalistes africains profitant du chaos pour revendiquer leur indépendance, mais la répression des puissances coloniales se renforce, provoquant des tensions croissantes.

En Asie, la situation se dégrade rapidement pour la Chine. Les forces japonaises, après des années d'expansion et de guerre, déclenchent une offensive massive qui conduit à l'effondrement du gouvernement central chinois. En quelques mois, le pays se divise en plusieurs États satellites sous contrôle japonais, consolidant ainsi la Sphère de coprospérité de la Grande Asie de l'Est.

Les États-Unis, épuisés, commencent à reconsidérer leur engagement dans le conflit. La stratégie de bombardement stratégique ne parvient pas à briser le moral des populations, tandis que le Japon résiste vaillamment dans le Pacifique. L'Axe, désormais renforcé par des victoires, étend son contrôle sur l'Europe, consolidant ses alliances.

Carte de l'Europe après la WW2

Carte de l'Europe en 1947 (après l'invasion de Suède)

Finalement, en 1947, la guerre se termine officiellement par la victoire de l'Axe. La Suède est envahie rapidement par les Allemands en quelques semaines. Des traités de paix sont signés dans un contexte de désespoir et de réorganisation mondiale. L'Allemagne impose des accords sévères sur les nations vaincues, redessinant les frontières de l'Europe selon ses intérêts. Le Japon, de son côté, établit son hégémonie en Asie, renforçant la Sphère de coprospérité de la Grande Asie de l'Est avec la création de gouvernements satellites. L'Italie retrouve une certaine influence dans le bassin méditerranéen.

Les pays européens, affaiblis et divisés, peinent à se reconstruire sous l'emprise de nouvelles réalités politiques et économiques. La Chine, désormais fragmentée en États satellites, devient un pion dans le jeu géopolitique japonais. Le monde se retrouve profondément changé, avec un nouvel ordre mondial où les idéologies de l'Axe s'imposent. Les espoirs de liberté et de démocratie s'effacent, laissant place à un avenir incertain marqué par des tensions et des luttes internes. Les traités de paix, bien que signés, ne font qu'accroître les ressentiments et les divisions, plantant les graines d'un nouvel affrontement dans les décennies à venir.

Résumé des grande dates de la guerre :[]

1939[]

  • 1er septembre : L'Allemagne nazie envahit la Pologne, marquant le début de la Seconde Guerre mondiale.
  • 3 septembre : La France et le Royaume-Uni déclarent la guerre à l'Allemagne.
  • Mai - juin : La Blitzkrieg permet aux troupes allemandes de conquérir la France en quelques semaines. La France capitule le 22 juin.
  • 26 mai - 4 juin : Évacuation des troupes britanniques à Dunkerque.

1940[]

  • Juin : Les forces de l'Axe, comprenant l'Allemagne et l'Italie, étendent leur contrôle en Europe.
  • Décembre : L'URSS, initialement neutre, commence à s'inquiéter de l'expansion allemande.

1941[]

  • 22 juin : L'Allemagne lance l'opération Barbarossa, visant à conquérir l'Union soviétique.
  • Automne : Les forces allemandes remportent plusieurs victoires écrasantes.

1942[]

  • Décembre : Les forces allemandes capturent Moscou, un coup dur pour le moral soviétique. Staline ordonne une mobilisation générale.

1943[]

  • Février : La bataille de Stalingrad s'achève, marquant un tournant décisif.
  • Mai : Les Alliés intensifient les campagnes en Afrique, bien que les forces de l'Axe demeurent dominantes.
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Bataille de Stalingrad

1944[]

  • 6 juin : Débarquement allié en Normandie (Jour J), une tentative majeure pour reprendre l'initiative en Europe.
  • Août : Les Alliés libèrent Paris, mais les forces de l'Axe continuent de résister.

1945[]

  • Avril : Offensive allemande contre la Grande-Bretagne, soutenue par des forces fascistes françaises.
  • Mai : Les Allemands prennent Londres, marquant un tournant dans la guerre en Europe.
  • Septembre : La guerre dans le Pacifique se poursuit, avec des offensives japonaises contre les forces américaines.

1946[]

  • Janvier : La guerre des colonies éclate en Afrique, alors que les forces françaises luttent contre les nationalistes et les forces de l'Axe.
  • Juin : Le Japon déclenche une offensive massive contre la Chine, consolidant son contrôle sur plusieurs États satellites.

1947[]

  • Mars : La guerre se termine officiellement avec la victoire de l'Axe. Des traités de paix sont signés, redessinant les frontières en Europe et en Asie.
  • Décembre : Les pays européens, affaiblis, commencent à se restructurer sous l'emprise de nouvelles réalités politiques, tandis que la Chine devient un pion dans le jeu géopolitique japonais.

La Grande Guerre Froide (1947-1993)[]

Carte du monde après la WW2

Carte du monde après les traités de 1947

Avec la fin de la guerre en 1947, un nouvel ordre mondial se dessine, profondément marqué par les résultats des conflits et les ambitions des puissances victorieuses. Les traités de paix, bien que signés dans un contexte de désespoir, ne font qu'accentuer les tensions latentes entre les nations et dessinent des blocs de pouvoir distincts. L'Allemagne et le Japon émergent comme des superpuissances dominantes, tandis que des régions autrefois souveraines deviennent des territoires sous contrôle direct ou indirect.

La Sphère de coprospérité de la Grande Asie de l'Est est l'une des manifestations les plus significatives de ce nouvel ordre. L'Empire du Japon, fort de ses conquêtes, élargit son influence à travers l'Asie, intégrant des territoires variés sous une administration centralisée. Le Resident-General of Manchuria devient un bastion stratégique pour le contrôle des ressources, tandis que la Sarawak Agency et le Gouvernement général de Papouasie renforcent les ambitions impérialistes japonaises dans le Sud-Est asiatique.

Les conquêtes japonaises ne se limitent pas à des annexions géographiques; elles engendrent également la création de régimes collaboratifs. Le Nouveau Israël, établi à Birobizhan, devient un symbole des aspirations sionistes au sein de l'Empire. De plus, le Tibet, le Bhoutan, le Sikkim et le Népal sont intégrés dans un réseau de vassalités, permettant à Tokyo d'étendre son influence spirituelle et culturelle au-delà des simples frontières géographiques.

L'Empire du Viet-Nam, le Laos, le Kampuchéa et l'État de Birmanie sont également placés sous l'égide japonaise, leurs gouvernements locaux étant souvent manipulés pour servir les intérêts de l'occupant. La République des Philippines et l'Union de Malaya voient leurs ressources exploitées pour soutenir l'effort de guerre japonais, tandis que des territoires comme Brunei et la République de Ceylon deviennent des points stratégiques dans le déploiement militaire japonais.

En parallèle, la situation en Chine s'aggrave alors que les différentes provinces, comme le Hwabei, le Shantung et le Huguang, sont devenues des États sous contrôle japonais, intégrant une partie significative du territoire chinois dans cette sphère d'influence. Le royaume de Thaïlande, devenu un allié, renforce sa position grâce à des accords économiques et militaires avec le Japon.

Alors que la Sphère de coprospérité s'étend, le bloc de l'Europakt se renforce également sous l'égide du Troisième Reich. L'Allemagne, par le biais de ses Reichskommissariats, étend son contrôle sur l'Europe de l'Est, tandis que le Nouveau Empire Romain réaffirme son autorité en Afrique et dans le bassin méditerranéen. Les nations vaincues sont intégrées dans un système de contrôle centralisé, consolidant ainsi l'hégémonie des puissances de l'Axe sur le continent.

Dans ce contexte, les Nations Unies, formées par les États-Unis, le Canada, l'URSS et d'autres nations, deviennent un forum pour la diplomatie, mais peinent à instaurer une véritable coopération face à l'expansionnisme des blocs antagonistes. Les États non alignés tentent de naviguer dans ce monde divisé, cherchant à préserver leur autonomie tout en évitant les conflits ouverts.

Ainsi, le monde de l'après-guerre, à la fois fragmenté et interconnecté, s'oriente vers des tensions futures, alors que les idéologies et les ambitions des puissances dominantes se heurtent dans une lutte pour le contrôle et l'influence sur les territoires conquis. Les nouvelles alliances, marquées par des idéologies radicalement différentes, préfigurent les conflits à venir, alors que chaque bloc cherche à asseoir sa domination sur un monde désormais remodelé.

Les Alliances[]

Sphère de coprospérité de la Grande Asie de l’Est[]

Drapeau de la Sphère

Drapeau de la Sphère de coprospérité de la Grande Asie de l’Est

Les Etats membres[]

Empire du Japon, Nouvel Israel (Birobizhan), Royaume du Tibet, le Royaume du Bhoutan, Royaume de Sikkim, Royaume du Népal, l’Empire du Viet-Nam, le Royaume du Laos, le Royaume du Kampuchéa, L’Etat de Burma, la République des Philippines, l’Union de Malaya, Brunei, République de Ceylon, République d’Inde, Etat russe (Sibérie), Empire mongol, Royaume de Thailande, République d’Indonésie, l’Etat de Hwabei, l’Etat de Shantung, l’Etat de Hwatung, l’Etat de Huguang, l’Etat de Hokkian, l’Etat de Szechuan, l’Etat de Kwangchow, l’Etat de Kwangsi, l’Etat de Kweichow, l’Etat de Yunnan, l’Etat de Huihuikuo et l’Etat de Sinkiang.

Idéologie[]

La Sphère de coprospérité se fonde sur une idéologie panasiatique, prônant l'unité et la coopération entre les nations asiatiques sous la direction du Japon. Cette idéologie se présente comme une réponse à l'impérialisme occidental, valorisant les cultures et les traditions asiatiques. Le Japon se positionne en tant que leader et modèle de développement, prônant une vision de l'Asie autonome, libre de toute influence occidentale. Hiro-Hito, empereur du Japon, est célébré comme un dieu.

Système[]

Le système politique de cette sphère est autoritaire, centralisé autour du gouvernement japonais, qui exerce une forte influence sur les décisions des autres États membres. Chaque pays conserve une certaine autonomie, mais est soumis à des directives japonaises, avec des administrations locales souvent composées de collaborateurs favorables au Japon. Un Conseil de coopération, dominé par des représentants japonais, serait chargé de la coordination des politiques économiques et militaires.

Vision[]

La vision de la Sphère est celle d'une Asie prospère, industrialisée et unifiée, capable de rivaliser avec les puissances occidentales. Le Japon prône un développement économique harmonisé, dans le respect des spécificités culturelles de chaque nation. La sphère aspire à établir une zone de libre-échange et de coopération militaire, créant un front uni face à toute menace extérieure.

Politique[]

Sur le plan politique, la Sphère met en avant une politique de développement économique et social, mais aussi de répression de toute dissidence. Les États membres sont encouragés à collaborer dans des projets d'infrastructure, d'éducation et de recherche. Cependant, toute opposition au régime japonais ou aux décisions du Conseil de coopération est sévèrement punie. Les gouvernements locaux doivent faire preuve de loyauté envers le Japon pour maintenir leur position.

Pouvoir[]

Le pouvoir est principalement concentré entre les mains du gouvernement japonais, dirigé par l'Empereur et un cabinet d'experts militaires et économiques. Ce pouvoir est renforcé par une armée japonaise forte, stationnée dans les pays membres pour assurer la stabilité. Les leaders locaux, bien que nominalement souverains, doivent naviguer prudemment pour ne pas s'attirer les foudres de Tokyo.

Économie[]

L'économie de la Sphère est orientée vers l'industrialisation et l'intégration régionale. Le Japon investit massivement dans les ressources naturelles et l'infrastructure des États membres, leur fournissant des technologies et des compétences en échange de matières premières. Des projets communs, tels que des réseaux de transport et des zones économiques spéciales, sont mis en place pour stimuler le commerce intra-sphérique.

Les pays membres bénéficient d'une croissance économique, mais au prix d'une dépendance accrue vis-à-vis du Japon. Ce modèle économique favorise une élite locale liée aux intérêts japonais, tandis que les populations des États membres peuvent subir des inégalités croissantes.

L'Europakt[]

Europe sous l'Axe

Carte de l'Europe dominée par l'Europakt

Les Etats membres[]

Le Troisième Reich, le Nouvel Empire Romain, l'Etat francais, l'Etat de Bretagne, l’Etat espagnol, la République du Portugal, la République de Finlande, le Royaume de Suède, le Royaume de Hongrie, la République slovaque, Etat indépendant de Croatie, le Royaume de Roumanie, le Tsardom de Bulgarie, l’Etat serbe, l’Irlande, la République de Turquie, le Royaume d’Egypte, le Protectorat français du Maroc. L'Europakt a une grande sphère d'influence sur l’Etat impérial d’Iran, le Royaume d’Irak, le Royaume de Jordanie, le Royaume d’Arabie Saoudite, le Royaume de Yemen et les Seikhdoms unis d’Arabie.

Idéologie[]

L'Europakt se fonde sur une idéologie nationaliste et impérialiste, prônant la suprématie raciale et la nécessité d'unir les nations européennes sous un leadership autoritaire. Le Troisième Reich se présente comme le fer de lance de cette alliance, cherchant à établir un ordre mondial dominé par les « races aryennes ». Cette idéologie valorise la tradition, l'héritage culturel européen et la nécessité de défendre le continent contre les influences extérieures, en particulier les États-Unis et l'URSS.

Système[]
Flag of Germany (1935–1945).svg

Drapeau du Troisième Reich

Le système politique de l'Europakt est fortement centralisé, avec le Troisième Reich comme leader dominant. Les États membres conservent un certain degré d'autonomie, mais sont tenus de suivre les directives politiques et économiques de Berlin. Les gouvernements locaux doivent collaborer étroitement avec les autorités nazies, et les mouvements d'opposition sont réprimés avec violence. Des organismes comme le "Conseil des Nations de l'Europakt" sont créés pour coordonner les politiques, mais le pouvoir réel reste entre les mains des leaders nazis.

Vision[]

La vision de l'Europakt est celle d'une Europe unifiée, économiquement puissante et militairement forte. Le but est de créer un empire qui s'étendrait sur tout le continent, renforcé par des alliances avec des pays d'Afrique du Nord et des Balkans. L'idée d'un grand espace vital pour les peuples européens est centrale, justifiant des politiques expansionnistes et coloniales.

Politique[]

Politiquement, l'Europakt applique des politiques répressives pour maintenir le contrôle sur les nations membres. Les gouvernements locaux sont souvent composés de sympathisants du régime nazi, et les forces de sécurité sont utilisées pour écraser toute dissidence. Les nations membres doivent collaborer dans des projets de propagande, de défense et d'infrastructure, tout en réprimant toute forme de résistance. L'idéologie nazie se propage à travers l'éducation et les médias contrôlés.

Pouvoir[]

Le pouvoir au sein de l'Europakt est principalement exercé par le Troisième Reich, qui utilise des moyens militaires, économiques et diplomatiques pour s'assurer de la loyauté des États membres. La SS et la Gestapo jouent un rôle clé dans le maintien de l'ordre et de la propagande, garantissant que les gouvernements locaux respectent les directives de Berlin. La hiérarchie au sein de l'Europakt est claire, avec le Führer à sa tête et des dirigeants nationaux agissant comme des vassaux.

Économie[]

L'économie de l'Europakt est orientée vers l'autarcie et l'expansion. Les ressources des États membres sont exploitées pour alimenter l'effort de guerre et soutenir l'industrie allemande. Des projets d'infrastructure sont mis en place pour favoriser les échanges intra-européens, mais au détriment des intérêts locaux. Les pays d'Afrique du Nord et des Balkans sont également intégrés dans ce système économique, devenant des sources de matières premières et de main-d'œuvre.   

Les Nations Réunies[]

Les Etats membres[]
Flag of the United Nations

Drapeau des Nations Réunies

Les Etats-Unis, le Dominion du Canada, l’URSS, la République française, Royaume de Belgique, le Royaume des Pays-Bas, le Brésil, le Mexique, Cuba, Haïti, République dominicaine, Guatemala, El Salvador, Honduras, Nicaragua, Costa Rica, Panama, Colombie, Venezuela, Equateur, Pérou, Bolivie, Chili, Argentine, Paraguay, Uruguay

Idéologie[]

Les "Nations Réunies" se fondent sur une idéologie de résistance et de survie. Elles prônent la souveraineté des nations et la défense des droits humains face à la domination des puissances de l'Axe. L'accent est mis sur la coopération entre les pays pour contrer les menaces et maintenir l'indépendance.

Système[]

Le système politique des Nations Réunies est décentralisé, chaque pays membre ayant une voix. Les décisions sont prises par consensus, mais les États-Unis, le Canada et l'URSS exercent une influence considérable. L'organisation sert de forum pour le dialogue et la coordination des efforts contre l'Axe.

Vision[]

La vision des Nations Réunies est celle d'un front uni contre la tyrannie, visant à reconstruire les nations touchées par la guerre. Elles encouragent la paix, la sécurité collective et le respect des droits des peuples, tout en soutenant les mouvements de résistance.

Politique[]

Les Nations Réunies mettent en œuvre des politiques de coopération en matière de sécurité et d'économie. Des conférences se tiennent régulièrement pour aborder les crises régionales. L'organisation facilite les échanges entre les membres et développe des mécanismes de médiation pour résoudre les conflits.

Pouvoir[]

Le pouvoir au sein des Nations Réunies est partagé, mais les grandes puissances comme les États-Unis et l'URSS jouent un rôle dominant. La nécessité de l'unité face à l'Axe pousse les membres à collaborer, malgré des tensions internes.

Économie[]

Les Nations Réunies se concentrent sur la reconstruction économique et le développement. Elles mettent en place des initiatives de coopération pour favoriser le commerce entre les pays membres et fournissent une aide humanitaire aux populations touchées par la guerre. L'objectif est d'assurer l'autosuffisance et de réduire la dépendance vis-à-vis des puissances de l'Axe.

Enfin, il existe des Etats non-alignés qui restent en dehors des provocations : le Royaume d’Afghanistan, le Sultanat de Mascate et Oman, la République libre kazakhe, l’Etat de Khorezm, République d’Ouzbékistan, la République populaire kirghize, la République tadjik, l’Etat libre du Turkmenistan, la République islamique du Turkestan oriental

L'Âge sombre (1947-1964)[]

Germania et Rome[]

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Le Grand Dôme de Germain, photographie de 1967

Berlin, symbole du pouvoir nazi, est rasé en 1949 pour faire place à Germania, une ville monumentale conçue pour incarner la suprématie raciale allemande. Le Grand Dôme, une structure massive, devient le point focal de cette nouvelle capitale, célébrant l’idéologie nazie et projetant une image de grandeur. Parmi les autres monuments emblématiques figurent la Rue des Héros, le Palais de la Race, et l'Arche de la Victoire, tous contribuant à l'exaltation de la puissance du régime. Le régime fasciste en Italie se concentre sur la reconstitution de la grandeur de l’Empire romain à partir de 1955. Des projets de restauration d’anciens monuments antiques sont lancés (comme le Capitole), renforçant l’identité nationale et le culte du passé glorieux.

Extermination et Nouvel Israël[]

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La Shoah en cours

La politique d’extermination des Juifs atteint son paroxysme entre 1942 et 1949, entraînant la mort de 11 millions de Juifs. Environ 600 000 parviennent à fuir vers le Nouvel Israël, établi en 1948 à Birobidjan, où ils tentent de reconstruire une vie en dépit des souffrances passées. En 1949, Hitler déclare l'Europe "propre" de toute présence juive lors d'un discours retentissant.

Cartes d'identité et pureté raciale[]

Des cartes d'identité marquées par des critères de pureté raciale deviennent courantes dans l’Europe à partir de 1950. Cela crée un système de classification sociale où les citoyens sont jugés sur leur conformité aux idéaux raciaux, entraînant une discrimination systématique.

Conflits internes et tensions[]

Des tensions sporadiques émergent entre les États-Unis et l'URSS au sein des Nations Réunies, surtout entre 1950 et 1960. Bien que les deux puissances collaborent pour contrer l'Axe, des rivalités idéologiques et stratégiques provoquent des frictions. Des affrontements mineurs se produisent également dans le Pacifique entre les États-Unis et le Japon, reflétant des ambitions concurrentes.

Expériences japonaises[]

Le régime japonais mène des expériences étranges sur des populations coréennes, chinoises et sibériennes, utilisant des méthodes inhumaines pour tester des armes biologiques et chimiques. Ces actions révèlent la brutalité et l'indifférence du régime envers les vies humaines.

Puissance de la SS et de la Gestapo[]

La SS (Schutzstaffel) et la Gestapo (police secrète d'État) deviennent des instruments de terreur et de contrôle, réprimant toute opposition au régime avec une efficacité redoutable. Leur pouvoir grandissant contribue à instaurer un climat de peur dans les territoires occupés.

Révoltes en Afrique[]

En Afrique, des révoltes éclatent contre l’occupation nazie et l’exploitation coloniale. Cependant, ces soulèvements sont brutalement réprimés, menant à des pertes massives et à l'instauration de politiques encore plus oppressives. Les mouvements de résistance ne parviennent pas à créer un changement significatif, et la situation des populations locales demeure désespérée.

Esclavage des Noirs et Slaves[]

Les nazis instaurent un système d'esclavage pour les Noirs et les Slaves, considérés comme inférieurs selon leur idéologie raciale. Ces populations sont soumises à des conditions de travail inhumaines, souvent dans des camps de travaux forcés, contribuant à l'effort de guerre et à l'économie allemande. Ce traitement brutal soulève des indignations internationales, mais la répression des informations rend difficile toute forme d'intervention.

Acquisition de l'arsenal nucléaire[]

En 1949, les nazis acquièrent une armée nucléaire, établissant un arsenal de 9 789 bombes d'ici 1954. Cette puissance militaire augmente considérablement leur influence et leur capacité à intimider leurs adversaires.

L'Effondrement (1964-1992)[]

Décès de Hitler de de Mussolini[]

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Reinhard Heydrich, successeur de Hitler

Hitler meurt en 1964, un événement qui provoque une grande cérémonie d'État au Grand Dôme de Germania. Des millions de personnes assistent à des rites de deuil et de glorification, tandis que des discours sont prononcés pour célébrer son héritage et sa vision. Sa mort ouvre une période de lutte pour le pouvoir au sein du Parti nazi, les factions rivales cherchant à s’emparer du leadership.Sa mort est symbole d'un renouveau pour beaucoup de peuples d'Europe. Reinhard Heydrich finit par prendre le pouvoir dans le Reich, mais les révoltes ont déjà commencé.

Mussolini meurt en 1973, mettant fin à une ère de dictature fasciste, mais laissant un vide de pouvoir qui ne sera pas facilement comblé.

Révoltes dans l'Europakt[]

Des révoltes sporadiques éclatent dans les pays de l'Europakt entre 1960 et 1975, alors que les populations cherchent à échapper à la répression. Ces soulèvements sont souvent réprimés dans le sang, mais ils révèlent des fissures dans l'autorité du Reich et du Nouvel Empire Romain.

Effondrement du Reich et de l'Empire romain[]

Entre 1975 et 1980, le Reich allemand et le Nouvel Empire romain connaissent un effondrement simultané, provoqué par des révoltes internes et une résistance extérieure grandissante. La situation économique désastreuse, aggravée par les conflits interminables et la répression, pousse de plus en plus de peuples à revendiquer leur liberté.

  1. Révolte des Slaves (1976) :
    • Ville : Prague, Tchécoslovaquie. En mai 1976, des manifestations massives éclatent à Prague, mobilisant des étudiants et des travailleurs contre l'occupation nazie et la répression culturelle. Le mouvement prend de l'ampleur, avec des slogans appelant à la liberté et à l'autonomie nationale. La répression brutale par la SS ne fait qu'exacerber le ressentiment, donnant naissance à un réseau de résistance qui se propage dans toute l'Europe de l'Est.
  2. Révolte de Budapest (1978) :
    • Ville : Budapest, Hongrie. En novembre 1978, une insurrection éclate à Budapest, dirigée par des intellectuels et des ouvriers. Les manifestants réclament non seulement des droits civiques mais aussi l'indépendance de la Hongrie face à l'autorité allemande. Malgré la répression militaire, la révolte incarne un désir de renaissance nationale et inspire des mouvements similaires dans d'autres pays de l'Europakt.
  3. Révolte de Lyon (1979) :
    • Ville : Lyon, France. En janvier 1979, des émeutes éclatent à Lyon, alimentées par la crise économique et la détérioration des conditions de vie. Les manifestations se transforment rapidement en un mouvement de résistance contre l'occupation fasciste, exigeant la fin de la répression et la restauration d'un gouvernement démocratique.

Au fur et à mesure que les révoltes se propagent, le Reich commence à perdre le contrôle de ses territoires. Des mouvements d'indépendance se déclarent, provoquant un effondrement en cascade :

  • 1976 : La Tchécoslovaquie déclare son indépendance après la révolte à Prague.
  • 1978 : La Hongrie proclame sa liberté face à l'influence allemande suite aux événements de Budapest.
  • 1979 : Les territoires des Balkans commencent à s'émanciper, avec la Serbie et la Croatie réclamant la fin de l'occupation.
  • 1980 : La Pologne se soulève, déclenchant un mouvement de solidarité dans toute l'Europe de l'Est.

Le 30 avril 1980, un message poignant est diffusé à la radio par Reinhard Heydrich, ancien chef de la Gestapo et désormais nouveau dirigeant du Reich après la mort d'Hitler. Avec une voix tremblante, il déclare : "Le Reich, qui a prétendu durer mille ans, s'effondre aujourd'hui sous le poids de ses larves judéo-communistes." Ce jour-là est marqué par une immense célébration de la liberté à travers l'Europe, alors que les peuples se rassemblent pour célébrer la fin d'une ère de terreur.

Drapeau du NER

Drapeau du Nouvel Empire Romain

Simultanément, le Nouvel Empire romain subit des convulsions similaires. À partir de 1975, les luttes internes pour le pouvoir et les crises économiques exacerbent les tensions entre les différentes factions fascistes. Les révoltes en Italie, notamment à Rome et à Milan, s'intensifient, faisant écho à la résistance des peuples occupés.

  • 1980 : La révolte à Rome devient particulièrement significative, où des milliers de manifestants se rassemblent pour revendiquer la liberté. En décembre de cette année-là, les leaders du Nouvel Empire romain, incapables de contenir le mécontentement, annoncent leur retrait et l'effondrement de leur autorité.

Le 31 décembre 1980, une déclaration officielle proclame la dissolution du Nouvel Empire romain, marquant ainsi la fin d'une autre ère de dictature. Les derniers vestiges de l'Empire se dissipent, laissant place à un espoir de reconstruction et de renaissance pour les peuples européens.

Les gouvernements en exil reprennent les rênes[]

Les gouvernements européens en exil, autrefois dans dans les colonies comme la République française basée en AEF et le Royaume de Belgique basé dans le Congo belge, reviennent Europe. Par exemple, l'Etat français, pays satellite du Reich, est aboli et est rattaché à la République française. L'indépendance est donné aux colonies.

Effondrement de la Sphère asiatique et de l'Empire du Japon[]

La fin des années 1980 marque une période de bouleversements majeurs en Asie, avec l’effondrement de la Sphère de coprospérité de la Grande Asie de l’Est, dominée par le Japon. La mort de l'empereur Hirohito en 1989 devient un catalyseur pour les changements profonds qui s'annoncent dans la région.

Hirohito

Hiro Hito avant sa mort en 1989

Hirohito meurt le 7 janvier 1989, créant un vide de pouvoir au Japon. Cette perte, couplée aux crises économiques et au mécontentement croissant, entraîne une montée des révoltes dans les territoires sous domination japonaise :

  • Corée : À Séoul et dans d'autres grandes villes, les Coréens se soulèvent pour réclamer la fin de l'occupation japonaise. Des manifestations massives se produisent, où les slogans d'unité nationale et d'autodétermination résonnent dans les rues.
  • Indochine : Les mouvements de résistance s'intensifient au Vietnam, au Laos et au Cambodge, où des populations s'organisent pour lutter contre les autorités japonaises, soutenues par des leaders charismatiques.

En 1990, la situation en Chine s'intensifie lorsque les factions nationalistes et communistes, qui ont lutté pendant des décennies, s'engagent dans une guerre ouverte. Les nationalistes, soutenus par des éléments anti-japonais, et les communistes, désireux de consolider leur pouvoir, s'affrontent dans une série de batailles décisives.

Flag of the People's Republic of China.svg

Drapeau de la République populaire de Chine

Après plusieurs mois de combats, les forces communistes, déterminées à unifier le pays et à mettre fin à l'occupation japonaise, remportent des victoires clés. En 1991, la Chine est officiellement réunifiée sous un régime communiste, provoquant une onde de choc dans la région : la République populaire de Chine est proclamée. Cette unification est saluée par les populations chinoises, qui aspirent à la stabilité et à l'indépendance.

L'effondrement du Reich et du Nouvel Empire romain entre 1980 et 1981 crée des résonances significatives en Asie. Les nations sous domination japonaise voient en ces événements une opportunité de revendiquer leur liberté.

  • Inspiration pour les mouvements de libération : Les succès des révoltes en Europe encouragent les populations d'Asie à s'organiser. Les mouvements de résistance, tels que ceux en Corée et en Indochine, prennent de l'ampleur, galvanisés par l'idée que la tyrannie peut être renversée.
  • Changement d'alliance : Alors que le Reich s'effondre, de nombreux anciens alliés japonais commencent à se détourner de Tokyo. Des gouvernements fantoches, tels que ceux en Malaisie et en Indonésie, prennent le risque de soutenir les mouvements d'indépendance, espérant ainsi établir de nouvelles relations diplomatiques avec les puissances émergentes.

Les États satellites asiatiques, qui avaient été des gouvernements fantoches sous la domination japonaise, commencent à revendiquer leur indépendance. Ces mouvements se manifestent dans divers pays :

  • Philippines : Un mouvement de libération nationale, déjà en cours, s'intensifie. En 1991, après des années de résistance, le gouvernement japonais est contraint de reconnaître l'indépendance des Philippines.
  • Indonésie : Les soulèvements en Indonésie se transforment en une lutte à grande échelle contre les forces japonaises. En 1992, l'Indonésie proclame son indépendance, rejoignant les autres nations libérées.
  • Birmanie (Myanmar) : Les manifestations contre le régime japonais se multiplient, menant à une déclaration d'indépendance en 1993.

Simultanément, l'Etat russe (Sibérie), négligée par le gouvernement japonais, commence à revendiquer son intégration à l'URSS. Après la chute du Reich, l'URSS a déjà élargi ses territoires à l'Est de l'Europe, mais sa présence en Sibérie est minimale. La population sibérienne, qui a souffert de l'occupation japonaise, se tourne vers Moscou pour trouver soutien et protection.

En 1994, un traité est signé, rattachant officiellement la Sibérie à l'URSS. Ce rattachement renforce le pouvoir central de Moscou et offre une nouvelle stabilité à la région, qui avait été en proie à l'incertitude.

La libération des pays de la Sphère asiatique et l'unification de la Chine marquent la fin de l'influence japonaise en Asie. Les gouvernements fantômes, imposés par Tokyo, s'effondrent, et des régimes légitimes, fondés sur le désir d'autodétermination, émergent. Le Japon, désormais isolé et affaibli par les révoltes, perd son statut de puissance dominante.

Renaissance du monde[]

Avec l'effondrement des empires et des régimes oppressifs entre 1990 et 1995, le monde commence à se reconstruire. L’URSS se transforme en Russie en 1991 et le monde se réunit dans l'ONU. En Europe, la Communauté économique européenne (CEE) est crée sous l'égide de la France. Ce nouvel ordre mondial est marqué par un désir de paix, de coopération et de respect des droits des peuples. Les nations, libérées de la tyrannie, se tournent vers l’avenir, cherchant à créer une société plus juste et équitable.


Autre carte suite à la victoire de l'Axe peut-être plus plausible[]

Carte assez réaliste "Et si l'Axe avait gagné"

Carte suite à la victoire de l'Axe après la Seconde Guerre Mondiale (autre proposition)