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La Pologne-Lituanie (polonais : Polska-Litwa), officiellement le Royaume de Pologne-Lituanie (polonais : Królestwo Polsko-Litewskie), est un pays situé en Europe centrale et orientale. Il est bordé au nord par l'Estonie, à l'est par la Russie et l'Ukraine, au sud par la République tchèque et la Slovaquie et à l'ouest par l'Allemagne.



L'histoire de l'activité humaine sur le sol polonais remonte à environ 10 000 ans avant Jésus-Christ. Culturellement diversifiée à la fin de l'Antiquité, la région a été habitée par des tribus polonaises qui ont donné leur nom à la Pologne au début de la période médiévale. L'établissement d'un État en 966 a coïncidé avec la conversion d'un chef païen des Polonais au christianisme sous les auspices de l'Église romaine. Le royaume de Pologne a vu le jour en 1025 et, en 1569, il a consolidé son association de longue date avec la Lituanie, formant ainsi le Commonwealth polono-lituanien.

La dynastie des Jagellons a survécu entre les mains de Stefan Ier, né en 1549. Le pays a prospéré depuis lors et s'est consolidé au cours des siècles suivants. Le Commonwealth a fait la guerre aux côtés de l'Autriche contre les Ottomans à la fin du XVIIe siècle. Au XIXe siècle, le royaume sort de plusieurs guerres, ce qui renforce le sentiment d'unité au sein de la population. Au 19e siècle, les frontières ont été fixées et peu de changements sont intervenus au 20e siècle. Le pays colonise le Kenya et Madagascar. Au cours du XXe siècle, le pays sort victorieux des deux guerres mondiales, consolidant ainsi sa place sur la scène internationale. Le Royaume est aujourd'hui la principale puissance en Europe.

Monarchie constitutionnelle dirigée par le roi Marek Ier, le gouvernement du royaume est dirigé par le Premier ministre, actuellement Rafał Trzaskowski (PO).

Le gouvernement est responsable devant le Congrès, composé de la Diète et du Sénat.

Histoire[]

Débuts et points de divergence[]

Le Royaume de Pologne-Lituanie connait deux changements majeurs en 1551 et 1552 :

La reine Barbara de Pologne survit et guérit de ses blessures grâce à l’aide de médecins italiens.

La dynastie Jagellon survit entre les mains de Stefan, un robuste garçon né de l’union de Barbara et de Sigismond II de Pologne.

Le roi Sigismond II unit la Pologne et la Lituanie lors de l’union de Lublin en 1569.

En 1571, il réunit la Diète et leur propose de rétablir la primogéniture royale.

Après maintes discussions, la Diète accepte ce changement et le Traité de Varsovie signé par le roi le 15 décembre 1571 établit la dynastie Jagellon sur le trône de Pologne.

Le roi, assuré de sa descendance grâce à son fils Stefan, meurt paisiblement le 7 juillet 1572.

Le roi Stefan Ier[]

Le défunt roi est inhumé en grande pompe le 12 juillet. Son fils le roi Stefan I est couronné roi de Pologne-Lituanie le 1er Août en la Cathédrale de Wawel à Cracovie.

Stefan Ier entreprend de continuer l’unification des deux royaumes et choisit de s’allier par mariage à la couronne d’Autriche. Il épouse Éléonore de Habsbourg le 12 août 1578.

Il eut deux enfants, Stefan, le futur Stefan II et Marie. Marie fut mariée au prince Gaston de France.

Le prince Stefan se maria le 1er Septembre 1605 avec la princesse Élisabeth d’Angleterre afin de sécuriser une nouvelle alliance.

XVIIe siècle[]

La Pologne rejoint le camp catholique dans la guerre de Trente Ans. Après les premières victoires, certains nobles de la nation se sont rangés du côté des protestants, ce qui a provoqué de graves troubles internes. La guerre s'est terminée par la paix de Westphalie.

La dernière guerre entre la Suède et la Pologne s'est terminée par une trêve en faveur de cette dernière : le Commonwealth s'emparerait de la Lettonie et de la ville de Riga.

Le Commonwealth écrase les rébellions cosaques en Ukraine en 1648

La Pologne participe et aide à gagner la bataille de Vienne contre les Ottomans en 1683, ce qui consacre le pays sur la scène continentale.

Pendant quelques décennies, la coalition chrétienne continuera à repousser les Ottomans.

XVIIIe siècle[]

La fin du règne de Stefan III et celui de Sigismond III sont consacrés à la reconstruction et à la consolidation du royaume grâce aux succès militaires remportés contre les Ottomans.

Lors de la Grande Guerre du Nord, la Pologne est contrainte de céder la Prusse au Brandebourg, une partie de la Baltique étant cédée à la Russie.

Le pays participe également à la guerre du Successeur d'Autriche : Après les premières victoires de la faction autrichienne (formée par l'Autriche, le Royaume-Uni, le Hanovre et la Pologne), le Commonwealth quitte la faction car il est contrarié par la décision autrichienne de mettre fin à la guerre.

Le Commonwealth participera également avec succès à la guerre de Sept Ans en sécurisant les terres prussiennes.

La monarchie se stabilise et se réforme, au détriment de la Diète.

A la fin du siècle, le pays n'échappe pas aux idées des Lumières et la Grande Diète de 1788 à 1792 dote le pays d'une constitution, ratifiée le 3 mai 1792.

XIXe siècle[]

La Pologne a commencé à se transformer en une puissance moderne.

L'administration a été rénovée, les armées ont été remaniées. Les alliances sont maintenues par différents mariages et traités.

Des gains territoriaux sont réalisés en 1810 et 1825. La Pologne intègre des parties du Brandebourg, de la Poméranie et de la Silésie. La frontière occidentale est fixée sur la ligne Oder-Neisse.

Le pays entame sa révolution industrielle en 1830 sous le règne du roi bâtisseur Jean III.Les industries naissantes et notamment la découverte de veines de charbon dans les montagnes du Sud ont accéléré les mutations du pays.

Les industries naissantes, et en particulier la découverte de veines de charbon dans les montagnes du Sud, ont accéléré le changement dans le pays.

Le royaume, peu touché par le printemps des peuples de 1848, a néanmoins vu ses alliances modifiées au profit de la Russie et de l’Angleterre.

Des rivalités avec les royaumes de Brandebourg et l’Empire d’Autriche ont poussé le royaume à signer une alliance avec la France en 1860.

A la fin du siècle, le pays mène des actions de colonisation à Madagascar et au Kenya.

Ses efforts expansionnistes sont récompensés lors de la conférence de Berlin en 1885 qui lui permet de légitimer ses territoires africains.

XXe siècle[]

Le début du vingtième siècle est marqué par la poursuite de la colonisation du Kenya et de Madagascar. Les capitales de Nowy Gdansk et Nowy Krakow sont fondées respectivement en 1900 et 1905.

Sur le plan intérieur, le royaume poursuit sa mue et les premiers partis politiques PSL, PPS et PPM apparaissent dans les années 1910.

Le roi Jean V ouvre le vingtième siècle en lançant de grands travaux ferroviaires et la création d’aérodromes partout dans le pays.

En 1914, l’archiduc Ferdinand d’Autriche est assassiné à Sarajevo par un indépendantiste serbe. Le pays mobilise son armée et se prépare au pire.

Première Guerre Mondiale[]

Début août, après l’entrée en guerre des alliés français, anglais et russe, c’est au tour de la Pologne-Lituanie de rentrer dans le conflit du côté de l’Entente face aux Empires Centraux : Allemagne, Autriche-Hongrie, Ottomans.

Les troupes du royaume, aidées par leur allié russes, combattent sur plusieurs fronts.

Seule la frontière est avec la Russie est épargnée. Les colonies, notamment celle du Kenya sont aussi touchées et mobilisent leurs troupes.

Les offensives allemandes et austro-hongroises percent les lignes alliées. Les armées se replient et un périmètre défensif autour de Varsovie est rapidement établi.

Au sud, les Ottomans sont rapidement vaincus et repoussés. Les armées sud rejoignent le reste des troupes et la contre-offensive s’organise.

Début 1915, après une série d’attaques alliées, le front se stabilise sur une ligne Gdansk-Cracovie.

Les soldats s’enterrent et attendent des jours meilleurs.

En 1915 et 1916, les combats s’enlisent. Les troupes périssent par milliers des deux côtés mais la ligne de front reste globalement inchangée.

En 1917, le général Pilsudski récemment nommé généralissime des armées Est prépare une série d’offensives destinées à percer le front ennemi.

Les attaques commencent début mai et portent rapidement leurs fruits. La cavalerie, appuyé par l’infanterie et l’aviation, récemment constituée, permet de reprendre la guerre de mouvement.

La frontière est rapidement atteinte. Les armées des Empires Centraux se retirent de toutes part.

Berlin est rapidement à portée de tir de l’artillerie polono-lituanienne. Du côté de l’empire austro-hongrois, la Tchécoslovaquie, puis la Hongrie sont rapidement libérées et le général Pilsudski commence à tourner ses yeux vers Vienne, la capitale impériale.

L’empire austro-hongrois, assailli de toutes parts, capitule le 17 février 1918. L’empire ottoman, après la chute d’Istanbul, se rend le 1er mars.

L’Allemagne se retrouve esseulée. Le Kaiser abdique le 12 mars en faveur de son fils Guillaume, chargé de négocier la paix. La rencontre aura lieu à Stettin pour le flanc est et à Retondes pour le flanc ouest. Grace au miracle de la radio et de la TSF, les deux négociations ont lieu en parallèle.

Les Allemands capitulent le 15 mars.

La Pologne retrouve ses frontières d’avant-guerre et se voit octroyer des réparations de guerre de l’ordre de plusieurs millions de Mark-Or.

Le pays sort victorieux du conflit et conforté sur la scène internationale.

Entre-Deux Guerres[]

Les années 1920 commencent avec la signature du Traité de Versailles, qui voient les accords de Stettin confortés. La Pologne retrouve ses territoires occupés.

Le pays exsangue, commence à panser ses plaies. Le Zloty-Or est dévalué au profit du Zloty Royal et les travaux de modernisation sont relancés.

Le roi Jean continue sa politique à l’international et essaye de nouer des alliances avec les pays récemment libérés.

Une alliance est nouée avec l’Ukraine et la Roumanie. La Bulgarie rejoint l’Entente en 1925, suivie par la Grèce en 1926.

Les années 1930, marquées par la Grande Dépression et la montée du chômage dans les villes, voient une politique de relance et de grands travaux mise en place. La monnaie est dévaluée plusieurs fois. Le chantier de la gare centrale de Varsovie ainsi que ceux des groupements industriels de Silésie et du Centre sont lancés.

Sur le plan politique, les tensions montent à droite comme à gauche. Malgré la dissolution du parti d’extrême droite ONR, ses milices les fameuses Phalanges restent actives.

Le roi, ainsi que son gouvernement, scrutent d’un œil inquiet la montée des extrêmes en Europe et se préparent au pire.

L’armée est modernisée à tour de bras, les chantiers du complexe militaro-industriel Centre sont menés à marche forcée.

Bientôt les tanks, canons et avion de combat sortent à la chaîne.

2ᵉ Guerre Mondiale[]

L’armée allemande envahit le pays, sans surprise, le 1er septembre 1939. L’avancée rapide est facilement contenue grâce à des troupes modernisées et une défense de fer. Le front se stabilise autour d’une ligne Gdansk – Cracovie. Le roi, inquiet, renforce les garnisons de l’est du pays, mais les Russes ne bougent pas.

En 1940, le front, toujours stable, voit des escarmouches des deux côtés, sans réelle percée.

En 1941, débordés sur le front ouest, les Allemands commencent à dégarnir leurs lignes. Edward Rydz-Smigly, général en chef du front Est lance l’offensive « Hussard Noir » pour reprendre l’offensive et récupérer les territoires occupés.

L’offensive est un succès, Gdansk tombe le 3 mai et Cracovie le 2 juin. La frontière est atteinte au début de l’été, mais les Allemands repliés en bon ordre, tiennent bon.

Le front se stabilise à nouveau. La percée finale à lieu à la fin de l’année, les troupes ennemies, enfoncées sur le flanc ouest commencent à fuir vers Munich et Berlin.

Les deux villes sont rapidement atteintes. La jonction a lieu sur à Francfort le 12 janvier 1942.

Munich tombe le 1er février 1942, et Berlin le 3 mars. L’empereur Guillaume III capitule sans conditions le 5.

La guerre est terminée en Europe, mais la paix est difficile.

Les accords de Varsovie voient la partition de l’Allemagne et de l’Autriche en quatre zones d’occupation : américaine, britannique, française et polonaise.

Après-Guerre[]

Malgré une occupation limitée, et l’annexion de la zone allemande en 1949, le pays sort difficilement du conflit. Seul le boom du plan Marshall et le renouveau démographique des années 1950 voient le pays prospérer à nouveau.

Le pays se modernise, les autoroutes sont rénovées, le pays se dote d’aéroports internationaux à Varsovie, Gdansk, Cracovie et de plateformes régionales dans d’autres grandes villes.

Sous l’impulsion des Alliés occidentaux, la RFA est créée en 1955 englobant les quatre zones d’occupation.

Le Kenya déclare son indépendance en 1961 suivi par Madagascar en 1963.

Le pays se tourne vers l’ouest et la démocratie.

Le Michel IV aidé par son allié le roi français Henri V, lancent la construction européenne.

La Confédération Européenne est fondée par le traité de Bruxelles de 1980. Les pays s 'engagent à s’entraider économiquement et à faire respecter les valeurs démocratiques en Europe et dans le monde

Les années 1980 et 1990 voient une transition démocratique et la création des deux principaux partis de droite PiS et PO au début de la décennie ’90.

Aujourd’hui, le pays est la première puissance européenne devant l’Allemagne et la France.

Dirigeants[]

Le pays est dirigé par un roi depuis sa création.

Voici la liste des monarques de Pologne-Lituanie :

  • Stefan Ier : 1572 – 1610
  • Stefan II : 1610 – 1650
  • Stefan III : 1650 – 1685
  • Sigismond III : 1685 – 1730
  • Ladislas IV : 1730 – 1755
  • Jean II : 1755 – 1770
  • Michel I : 1770 – 1790
  • Michel II : 1790 - 1821
  • Jean III : 1821 – 1850
  • Jean IV : 1850 – 1880
  • Michel III : 1880 – 1910
  • Jean V : 1910 – 1950
  • Michel IV: 1950 –1980
  • Marek Ier: 1980 –
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